My first true love's name was Street.

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mardi 27 juillet 2010

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jeudi 31 décembre 2009

Berlin ou quoiiii, chéri ?!?



Mercredi 30 décembre; 4h00 du mat'; en sueur contre le radiateur de mon 9m² à Cadet. BAM ! Acmé de la grosse infection éthylique qui ruine mon bide depuis 3 jours.

Une seule question : "putaiiin, j'y vais ou pas ?"

Allez ma gueule, c'est par'tchi ! Quelques sapes éclatées, Acid Tracks de Phuture à fond, quelques hurlements solitaires - "Aciiiiiiiiiiiiiiid !!!" - pour me galvaniser ainsi qu'une légion à l'agonie, et vas-y que je sue mes miasmes dans mon sac à dos jusqu'à une voiture qui tourne Place Clichy, dans l'attente de nos bouls frétillants d'excitation juvénile, avant de décoller pleins gaz vers un Mur qui a chuté il ya de cela 20 ans et 45 jours.

Recroquevillé dans le siège je dors, je me tords, je mords mes lèvres et tel putain d'mes morts des remords me hantent : j'ai eu tort d'y aller, j'en chie cher.

12h de trajet, rythmées par les blagues pédophiles de mes compagnons de route : on est en Belgique. Place aux blagues nazies : ça y est, on est arrivés à destination.

Idéalisation des soirées avec mon fleur bleue de pote; une Wurst à la choucroute marinée qui finit d'achever mes sucs digestifs en pleine lutte avec le pus que je contiens, puis c'est l'heure de bouger chez Fabian, ce délicieux schleu au parcours plein de grandes écoles, de missions onusiennes, ainsi que d'aventures sexuelles et youthologiques à en faire pâlir Duris dans son auberge de merde.

Jme casse de chez mes compères pour suivre mon destin à court-terme, et m'éloigne du petit quartier bourgeois auquel ils ont eu droit et qui faisait pourtant tellement de bien à ma vulnérabilité physique actuelle.

Le U-Bahn, froid frère du métro. La neige. Le désert urbain. La notion à l'allemande des distances. Micromégas. La périphérie. La marge. Personne sur des boulevards interminables. La hass.

Putain dans quelle galère jm'embarque encore, jlaime bien mais bon...

Enfin arrivé devant son bâtiment : un grand paralellépipède de béton dont la façade est animée par une immense bâche sur un fond de Noël chaotique.

Rien que pour cette vision je me dis que ça valait ldétour; za3ma comment y vont kiffer mes ptits parigots de merde quand jvais faire des gestes imposants et des grognements graves poiur mimer cette ex-friche industrielle à la merci de conditions sibériennes.

Je tourne mais ne trouve pas l'entrée. SMS. Et là ...

Dans cette atmosphère d'isolation intemporelle - enfin ... post-industrielle quand même - le Fab débarque, grimé d'un masque de loup et déployant ses membres anguleux à la semblance d'une araignée mythologique. Je ne le réalise que maintenant, mais ça m'a évoqué tellement de truc sur le coup (les scènes de sectes dans Putsch, les vidéos d'une scandinave barrée à la biennale de Venise en 2005, et Saint Jacques La Mecque vu d'un certain angle; + un vieux clip de QOTSA)

Bref; la bête me saute dessus, on s'embrasse, on monte dans une cage d'escalier pénitenciaire, et nous entrons dans the appartement typique résumable en tant que cliché de ce qui fait bander tout un chacun à Berlin : de l'espace du béton du blanc des poutres des armatures des objets kraftwerkement poétiques (exemple : une grosse machine à peindre et dessiner les murs)

Les retrouvailles classiques, trop dtrucs à sdire, des allusions hystériques au roadtrip qu'on s'est fait il y a 2 ans en stop du côté d'Avignon, à dormir sur les remparts dans des tour de gardes remplies de pigeons insalubres alors qu'il est aviophobe, nos dernières anecdotes rock'n'roll, les derniers sons qui sont sortis de mes doigts de maçon, etc.

Au milieu de cet imbroglio de micro-biospeaks, l'une des dernières soirées qu'ils a organisées retient mon attention :

Dans cet ancien atelier de 180 m² , à l'occasion des 20 ans de la chute du mur, il a invité un max de peuple et dressé cette grande cloison dorée afin de bloquer l'accès à 60% de l'espace. Un bonhomme déguisé en singe lançait d'agressives bananes à ceux qui s'avisaient de toucher la cloison d'or. Ca s'est accumulé, ca s'est accumulé, et les gens ne pouvaient plus bouger; c'était l'heure de faire tomber le mur. Et là : grosse teuf ma couille. On ne m'a pas dit comment avait fini le singe.



Bénéfice de cette soirée ? Non profit. Mais des putain de retombées RP - sont quand même passés dans le Berliner Zeitung, en plus d'un méga buzz, les mecs. C'est bon pour le Fab, ça, quand on sait que c'est le gonz qui a créé les soirées Erasmus Berlin. Mais attention : les esprits Système Udground Rsistance façon Berlin dans des aparts de ouf, concept à la clef, ne se mélangent pas non plus toujours au sacro-saint conformisme festif des groupies d'Erasme : ce soir il organise un repas pour 65 trendsetters, suivi d'une orgie dans une piscine désaffectée, mais loin de lui l'idée de passer voir comment se déroulera l'Erasmus New Year's Eve party qu'il a lancée en plein centre, à Mitte. Ce mec est vraiment un baisé en fait. Un baisé cool, mais un baisé quand meme ...

Bref, une luge pendue au mur, des prototypes de mode developpement durable trendy trash qui touchent nonchalemment les corps indolents de tables graphiques épuisées, et l'heure de dormir sur l'un des matelas éparpillés au gré de cette fin de décennie, le début d'une désinfection gastrique suivant son cours en moi...

J'espère juste que je pourrai tiser demain...

Bonne nuit (écrit la nuit )du 30 au 31.




Mercredi 30 décembre; 4h00 du mat'; en sueur contre le radiateur de mon 9m² à Cadet. BAM ! Acmé de la grosse infection éthylique qui ruine mon bide depuis 3jours.

Une seule question : "putaiiin, j'y vais ou pas ?"

Allez ma gueule, quelques sapes éclatées, Acid Tracks de Phuture à fond, quelques hurlements solitaires - "Aciiiiiiiiiiiiiiid !!!" - pour me galvaniser ainsi qu'une légion à l'agonie, et je sue mes miasmes dans mon sac à dos jusqu'à une voiture qui tourne Place Clichy, dans l'attente de nos bouls frétillants d'excitation juvénile, avant de décoller pleins gaz vers un Mur qui a chuté il ya de cela 20 ans et 45 jours.

Je dors, je me tords, je mords mes lèvres et tel un mort des remords me hantent : putain j'ai eu tort.

12h de trajet, rythmées par les blagues pédophiles de mes compagnons de routes : on est en Belgique. Place aux blagues nazies : ça y est, on est arrivés à destination.

Idéalisation des soirées avec mon fleur bleue de pote; une Wurst à la choucroute marinée qui finit d'achever mes sucs digestifs en pleine lutte avec le pus que je contiens, puis c'est l'heure de bouger chez Fabian, ce délicieux schleu au parcours plein de grandes écoles, de missions onusiennes, ainsi que d'aventures sexuelles et youthologiques à en faire pâlir Duris dans son auberge de merde. Jme casse de chez mes compagnons de route pour suivre mon destin à court-terme, et m'éloigne du petit quartier bourgeois auquel ils ont droit et qui faisait pourtant tellement de bien à ma vulnérabilité physique actuelle.

Le U-Bahn, froid frère du métro. La neige. Le désert urbain. La notion à l'allemande des distances. Micromégas. La périphérie. La marge.Personne sur les boulevards interminables. La hass.

Putain dans quelle galère jm'embarque encore, jlaime bien mais bon...

Enfin arrivé devant son batiment : un grand paralélépipède de béton dont la façade est animée par une immense bâche sur un fond de Noël chaotique.

Rien que pour cette vision je me dis que ça valait ldétour; putain comment y vont kiffer mes ptits parigots de merde quand jvais faire des gestes imposants et des grognements graves poiur mimer cette ex-friche industrielle à la merci de conditions sibériennes.

Je tourne mais ne trouve pas l'entrée. SMS. Et là ...

Dans cette atmosphère d'isolation intemporelle - enfin... post-industrielle quand même - le Fab débarque, grimé d'un masque de loup et déployant ses membres anguleux à la semblance d'une araignée mythologique. Je ne le réalise que maintenant, mais ça m'a évoqué tellement de truc sur le coup (les scènes de sectes dans Putsch, Saint Jacques La Mecque vu d'un certain angle, et les vidéos d'une scandinave barrée à la biennale de Venise en 2005; + un vieux clip de QOTSA)

Bref; la bête me saute dessus, on s'embrasse, on monte dans une cage d'escalier pénitenciaire, et nous entrons dans the appartement typique de ce qu'on pourrait ériger en tant que cliché de ce qui fait bander tout un chacun à Berlin : de l'espace du béton des poutres des armatures des objets kraftwerkement poétiques (exemple : une grosse machine à peindre et dessiner les murs)

Les retrouvailles classiques, trop dtrucs à sdire, des allusions hystériques au roadtrip qu'on s'est fait il y a 2 ans en stop du côté d'Avignon, à dormir sur les remparts dans des tour de gardes remplies de pigeons insalubres alors qu'il est aviophobe, nos dernières anecdotes rock'n'roll, les derniers sons qui sont sortis de mes doigts de maçon, etc.

Au milieu de cet imbroglio de micro-biospeaks, l'une des dernières soirées qu'ils a organisées retient mon attention :

Dans cet ancien atelier d'une centaine de m², à l'occasion des 20 ans de la chute du mur, il a invité un max de peuple et dressé cette grande cloison dorée afin de bloquer l'accès à 30% de l'espace. Ca s'accumule, ca s'est accumulé, les gens ne pouvaient plus bouger; c'était l'heure de faire tomber le mur.

Bénéfice de cette soirée ? Non profit. Mais des putain de retombées RP - sont quand meme passés dans le Berliner Zeitung en plus d'un méga-buzz, les mecs. C'est bon pour le Fab, ça, quand on sait que c'est le gonz qui a un peu créé les soirées Erasmus Berlin. Mais attention : les esprits Système UR real Berlin dans des aparts de ouf, concept à la clef, ne se mélangent pas non plus au sacro-saint conformisme festif des groupies d'Erasme : ce soir il organise un repas pour 65 trendsetters, suivis d'une orgie dans une piscine désaffectée., mais loin de lui l'idée de passer voir ce qui se passera à l'Erasmus New Year's Eve party qu'il a lancée en plein centre, à Mitte. Ce mec est vraiment un baisé en fait. Un baisé cool, mais un baisé quand meme ...

Bref, une luge pendue au mur, des prototypes de mode developpement durable trendy trash qui touchent nonchalemment les corps indolents de tables graphiques épuisées, et l'heure de dormir sur l'un des matelas éparpillés au gré de cette fin de décennie, le début d'une désinfection gastrique en cours.



Suite demain





> histoire de chute du mur > record audio

> préparatifs de soirée 65 personnes

> francais / fusée dans l'appart

jeudi 15 novembre 2007

Ephemeral fame and visual e-desecration.

When you go on some artist’s Myspace page, that is, so to speak, like if you entered in his room, in a place very personal to him.

Have you ever entered in a star’s bedroom? Have you ever discovered and shared a part of his intimacy?

Yes, thanks to Myspace , to Dailymotion or to Youtube videos, that are totally available to anyone and often show unexpected parts of a famous person’s life – he or she partying, for example.

“Wonderful”, will say many people. “Very good for an artist’s career”.

“Desecrating and too much generalizing”, would answer some of Baudrillard’s admirers.

That criticism is no moral or impulsive comment: it aims at explaining some very short and dazzling fames in the frame of a new way to make oneself well-known – or notorious.

Actually, Baudrillard said that in the photographs, there was like a lack of absence, like a lack of void, like a lack of death, finally. That is to say that when you look at a photograph, you have an impression of eternity, as if reality was comparable to the fixed climax the photographer has shot at an intense moment. It only contains present, action and life, which is very unrealistic.

The notion of unrealism is very close to another: sacredness. Even if the star system is not so to speak a religion, I think that words like “idols” can make it comparable to it.

To sum up, I think that having too much informations about a person who is becoming famous, notably videos (degrading or not) and very commonplace comments made by the star on Myspace, must show that he or she is not as exceptional as we could expect. It shows the star as someone like everybody, as the sacred cloth of absence, doubt and ignorance that veiled him falls.

For example, artists like TTC, who were skyrocketing, may have shown themselves too much on the Net with videos, notably with low-quality concerts, and that may have quickened their drop.

jeudi 11 octobre 2007

Exercise

Actually, I work at a society that employs 65 salaries. It is located in Paris in the 15th district in a street called Rue Maubert. Her goal is to commercialize software for childrens.

It receives a subvention from the state to hire young interns. That is how I got my post which is titled commercial. In a first time, my job title was responsible of marketing, but I changed jobs.

We sell a panel of products with the mark Youngsoft. We have many functions associated with marketing. Our posting in the metro is one of the most expensive. Our PR department also has a very large budget. We realize our own ads with our redaction staff, and we do our own edition of user manuals.

Our trimestrial results for this year have all been very positive. Our market is very interesting right now, and that is why we earn funds.

We want to commercialize our products in Tahiti because we think metropolitan customers would be interested in buying them.

In resume, because of our positive deontology and interesting market niche, we are have a rosy future.

jeudi 4 octobre 2007

Digital strategies.

For you blogs, I would like you to comment on the following digital strategies:
Bob dit :
12 principles of successful digital strategies:*

1.Outsource to the customer

2.Cannibalize your markets

3.Treat each customer as a market segment of one

4.Create communities of value

5.Replace rude interfaces with learning interfaces

6.Ensure continuity for the customer
Bob dit :
1.Give away as much information as possible

2.Structure every transaction as a joint venture

3.Treat your assets as liabilities

4.Destroy your value chain

5.Manage innovation as a portfolio of options

6.Hire the children

*from “Unleashing the Killer App: Digital Strategies for Market Dominance” by Larry Downes and Chunka Mui
Bob dit :
everyone get those???

jeudi 27 septembre 2007

I tweet, you tweet, she tweets, ...

Tweeter allows to "micro-blog", that is to say tessentially to inform the connected people about what we are doing (updates, news, ...).

Those are little messages, like the little sound the birds make when they tweet.

In the frame of a group work done on the long run, Twitter can be useful to see how advanced the others are.

In a communication field, it can allow to inform customers about your most recent innovations or offers, like a "business press agency".